Madère

La géographie, les hommme et la randonnée à Madère.

Madère, cette île où on peut siroter une poncha « maison » sur la terrasse du bar de Manuel, échanger une plaisanterie avec Maria qui passe, l’anse du seau au bras. C’est aussi suivre des yeux les nuages sur les Picos, bercé par les beuglements des vaches que l’on trait dans les pallieros.

Madère

C’est l’heure du repos à Ilha, après une bonne journée de randonnée, l’heure douce de la côte nord, celle où l’on oublie les à pic, les sinuosités, l’étroitesse des tunnels et l’audace des lévadas que nous avons empruntés. Entre vignes et potagers suspendus, c’est une autre Madère que celle du soir, c’est l’île des petits paysans et de la vie rurale.

A part la route, peu de choses ont changé. Nous sommes loin de Funchal la capitale qui se prend pour une métropole. On presse le raisin et la canne à sucre. Les légumes poussent toute l’année, on entretien les lévadas pour que l’eau coule, que la vie continue. C’est la petite vie de la côte nord, la vie âpre et douce de Madère.

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